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FAUX-FUYANT
2023, argile blanche et corde de chanvre.
Au mur, Geoffrey Badel, Les Senseurs. Série de 6 dessins au graphite sur papier ancien, 84 x 42 cm, 2021
Vue de l’exposition Anima, Atelier blanc, Villefranche-de-Rouergue, 2023
Commissariat Thomas Delamarre
Crédit photo : Virginie Cavalier

2022, argile blanche et corde de chanvre.
Vue de l'exposition Comme un écho tonne au FRAC Occitanie Montpellier 2022
Crédit photo : Virginie Cavalier



Au mur : Geoffrey Badel, Centurio Senex, dessin mural in situ au graphite et fusain, 2022.
Geoffrey Badel, What is like to be a bat ? Dessin au graphite sur le verso d'une vieille carte, 94x122cm 2022.
Vue de l'exposition Comme un écho tonne. FRAC Occitanie Montpellier
Crédit photo : Cédrick Eymenier
"Il y est d’abord question d’âme, au sens littéral, formel et fonctionnel du terme, avec Faux Fuyant, montrant deux modelages de chevreuils morts suspendus à des cordes. Les cordes et la pendaison rappellent le moment ultime de la chasse, quand l’animal est suspendu pour être éviscéré.
Ces sculptures modelées avec de la terre renvoient également aux formes posturales de polyéthylène qu’utilisent les taxidermistes pour remplir les dépouilles éviscérées et décharnées.
Des formes que l’on appelle aussi des « âmes », qui n’ont justement pas été utilisées ici.
Comme si, par le modelage de la terre, il s’agissait pour l’artiste de redonner une âme à ces âmes de plastique et surtout, de redonner corps et âme à l’animal décédé."
Pascal Pique
Musée de l'Invisible
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